Les aurores boréales : phénomène naturel envoutant par excellence
Que dire sinon contempler ce véritable spectacle dansant …
Que dire sinon contempler ce véritable spectacle dansant …
Nous avons bénéficié d’une météo clémente pour notre séjour à New York (3 jours de beau soleil, 1 jour gris et 2 jours de pluie) après avoir évité la tempête de neige de janvier (où la circulation avait été interdite dans Manhattan pour dégager les rues) et les grands froids (-15°C / -25°C) annoncés deux semaines plus tôt.
Dans cette partie centrale de Manhattan, il est possible d’avoir les plus belles vues en hauteur sur toute l’île. L’Empire State Building (plus haut que la Tour Eiffel) ou il est possible d’avoir une double visite de jour et de nuit grâce au City Pass. Top of the Rock au Rockfeller Center. Ce point de vue présente l’intérêt d’avoir la vue sur l’Empire State Building et sur Central Park.
Le Downtown est le centre historique situé au sud de l’île. La statue de la Liberté y fait face sur sa petite île. On y trouve bien entendu le quartier des affaires de Wall Street, mais aussi le lieu de triste mémoire des attentats du 11 septembre 2001. Les 2 tours du World Trade Center sont remplacées par 2 bassins carrés alimentés par des chutes d’eau.
Dans le quartier Uptown de Manhattan, nous avons visité les musées complémentaires du Metropolitan Museum of Art et l’American Museum of Natural History et traversé entre ces deux musées le poumon vert de la ville Central Park, seul vrai espace vert de Manhattan (gigantesque, comme un peu tout à New York) au milieu des buildings.
On est en présence de l’un des plus grand musée d’art du monde. On y retrouve l’art de toutes les régions du monde sur plusieurs étages avec notamment de nombreuses toiles de peintres français en particulier Monet, Renoir et même notre Gustave Courbet local avec par exemple les « Sources de Loue », lieu de notre petite balade dominicale entre amis ! On peut aussi y admirer de nombreux Cézanne, Rembrandt ou encore Van Gogh.
En Islande, dans la même journée vous pourrez vivre avec intensité sous un grand soleil entre coupé d’averse de neige de mai et de bourrasque de vent fort, vous émerveiller devant de la boue troublante et de l’eau bouillonnante sorties directement des entrailles bruyantes de la terre, aux cascades plus belles les unes que les autres, aux plages de sable noir au pied de falaises vertigineuses, pour enfin vous évader au milieu des icebergs de Jökulsárlón qui se jettent dans l’océan.
En résumé : plein les yeux.
Encore 2 heures de route après les plages de sable noir de Vik pour arriver à l’objectif du jour et quel objectif. Aucun regret malgré toute cette route, 385 km tout de même depuis Reykjavik, soit 9 h de route aller-retour. Prenez vos précautions pour ce qui est de la pause déjeuner car entre Vik et les icebergs de Jökulsárlón il n’y a pas grand chose. Il est possible de prendre une petite restauration légère sur le site des icebergs.
La suite se passe de commentaires …
Cette plage de Vik vaut vraiment les quelques 5/6 kilomètres de détours : elle est annoncée comme une des 10 plus belles plages au monde selon les guides touristiques.
Passage devant le volcan qui a tant fait parler de lui en 2010, avec l’espace aérien européen bloqué pendant près d’une semaine, sans que l’on arrive à en prononcer son nom !